Lucius Antoninus est reçu par le consul Gaius. Celui-ci souhaite exploiter sa popularité nouvellement aquise auprès du Collegia pour tisser des liens. Il l'encourage à démontrer sa bonne volonté, sous-entendant qu'il souhaite la preuve que le jeune sénateur n'est pas juste un nouveau Macellarius Corbulo. Il l'envoie, en compagnie de Galba, sur la piste du barbare Silberic qui cause des déprédations dans les zones les plus abandonnées de la Nécropole.
Silus a lui quelques soucis de réputation au sein de la Legio, où certains troupiers n'apprécient pas le rôle qu'il a joué dans l'exonération de Galba, qu'ils soupçonnent de s'en être tiré à si bon compte grâce à son lignage.
De son côté, Mercurio continue à renforcer ses liens avec le parti le plus fréquentable du Collegia, en la personne d'Erastes Fulmen. Il est abordé par la jeune sénatrice Julia Sabina, qui lui propose de l'aider à organiser un événement public pour asseoir la position de Carus Gallus et de donner consistance à la nouvelle faction des Populares, dont ce dernier pourrait bien devenir la figure de proue... si son homme de l'ombre joue bien son rôle.
La coterie découvre que la bande de Silberic comprend plus que quelques membres désoeuvrés et qu'il s'agit d'une véritable rébellion chrétienne qui projette un attentat d'envergure contre le Senex. Ils en avertissent Corvus Belli, qui réunit ses hommes. Silus vient le renforcer avec sa propre centurie et la Légion écrase publiquement et de manière sanglante ceux qui ont osé défier la Camarilla.
Roma Victrix !